Au nord : Pour les Ecossais : Objectif Livarot

– En tête de la 7e D.B. : le 8th Hussars n’avait pu sortir de Boissey : à 500 mètres à l’est du village, un panzerfaust avait mis hors de combat un char Cromwell. .
– Les allemands tiennent la forêt de Quevrue …
– Ordre de repli sur Sainte-Marguerite-de-Viette !
– Il faut renoncer à Livarot et se tenir sur ses gardes toute cette nuit.
Au Centre : Canadiens et Polonais initient les verrous

Les allemands s’enfuient ou se battent fougueusement.
Difficulté : traverser la dépression et remonter vers la R.N. 24 bis, limite d’arrêt des franco-américains

– A l’aube, les Polonais découvrirent qu’ils étaient arrivés aux Champeaux … et qu’ils avaient devant eux une cible de choix : un groupe de véhicules de la 2° division blindée SS. Après la bataille, les chars se dirigèrent vers Chambois.
– A leur droite, le 10° PSK avançait, également vers Chambois, par une route plus directe tandis que le 24° Lanciers suivait un itinéraire parallèle le long de la vallée de la Dives jusqu’à Trun.
– Trun tomba rapidement. Le 18° RB Lac supérieur et le 22° Grenadiers Guards y entrèrent à l’aube mais furent forcés de s’en retirer temporairement quand un avion allié vint bombarder la ville.
– Avancée sur Saint Lambert sur Dives et vers Vimoutiers.
– Faute de pouvoir utiliser la route de la vallée, la progression canadienne prend sa revanche sur les hauteurs, occupe la cote 259 au-dessus de Louvieres et Hordouseaux, pousse le verrou arrière.
– les Français de la 2° DB atteignent « la Frênée » sous la cote 262 SUD. Ils coupent le repli en direction de Gacé et permettent la prise du village de Chambois et la liaison des Américains et des Polonais du lendemain.
Orne : La poche se dessine …
Le couloir permet une évasion massive !
